Arrivée de la Kazekage

J'avais quitté Kiri quelque jours plutot. J'avais tuer deux frère pour le katana de mon père et j'avais fait souffrir un couple de vieille personne. Mais pourtant, je n'avais pas de peine. J'avais ensuite embarqué sur un bateau ou je me debarrassa de plusieur ninja et recuppera des personnes tomber a la mer en restant pour autant discraite. Ce pendant, quand j'arriva devant les porte de Suna, j'avais toujours mon bandeau de Kiri autour du cou. Je regarda les grandes portes dressées devant moi. Je fut étonnée de ne pas voir de garde. J'ouvrit la grande porte et fut encore plus étonnée de ne voir personne dans la rue donnant devant celle-ci. Je regarda les lieux et chercha un personne. Je fini par allez dnas un petit restaurant ou il y avait plusieur personne et a chaque fois que je demandais a quelqu'un, il me regardais un moment avant de me tournée le dos et de reprendre leurs discution. Je fini par allez voir un serveur mais il m'ignora complètement. Je fini par m'énérvée de ce manque de respect et je sortit mon katana au moment ou une jeune fille entra dans le restaurant. Mon katana se trouvais contre la goerge de la jeune femme. La femme poussa un cri surprise de sentir une lame contre sa peau. Tout le monde se retourna vers moi et il me regarderent agressivement.

"Le respect vous connaissez??"

Un homme se leva et s'approcha de moi assez rapidement. Je le vit prendre un couteau et je sourria. Je mit le manche de mon katana en bouchet et je composa des signes. Peu de temps après, un clone apparru dans la pièce. Je tenais toujours le katana dans ma bouche contre la peau de la goerge de la jeune fille et je vit un petit mouvement de tête et mon clone compris directement ou je voulais en venir. Elle sortit un kunaï et tendit le bras de façon a avoir la pointe du kunaî sur la peau de la goerge de l'homme. Je reprit mon katana en main pour pouvoir reprendre la parole.

"Un conseil, ne vous approcher plus, mon clone est peut etre facile a détruire, mais il aura le temps de vous tuer avant qu'il ne disparaisse."

L'homme semblait comprendre ou je voulait en venir et il laissa tombé le couteau a terre.

"Bin, je vois déjà qu'on parle la même langue c'est déjà un bon début. Maintnnt vous allez m'éxpliqué se qui se passe ici."

L'homme allait me repondre quand j'entendit quelqu'un courrir dans la rue avant de s'engouffré dans le restaurant.